Cauchemars et peur, voilà comment Enëlya pouvait résumer ça nuit... Oui, la grande dame d'Ithaque ne passer pas souvent des nuits douces et avait de plus en plus peur du crépuscule pour cela. Alors que le soleil pointé le bout de son nez, la douce marquise ouvrait ces grands yeux blancs. Dans la maison, il faisait un peu sombre et seul une petite lueur de bougie déjà bien consumé donner un faible éclairage à ça pièce à vivre où se trouver son lit.
La grande dame frottait ces yeux tendis qu'elle se mit assis au bord du matelas, elle baillait et s'étirer en balayant la pièce du regard.

La belle typesse était vêtu d'une tenue d'Eve, c'est à dire qu'absolument rien ne couvrait ça peau... Le premier geste qu'elle eut fut de faire repartir son feu de cheminé afin de se réchauffer. Dans ça salle d'eau, il y avait un bain en bois ressemblant à une grande cuve, à côté de celle-ci, un grand récipient de pierre. Pour faire en sorte que son bain soit délectable, elle faisait chauffer à l'aide du feu provenant de la cheminée les pierres du récipient pour les mettre dans l'eau de la cuve et ainsi faire chauffer l'eau. Un système un peu longuet, mais efficace!

Quand l'eau du bain fut chaud, Enëlya se mit dedans. Ahhh les bains chauds... Cela était agréable pour la grande dame qui barbotait dedans... Elle avait d'ailleurs remarqué une chose... Selon l'environnement où elle se mettait, elle avait une légère modification physique. Dans le bain par-exemple, la douce marquise avait les cheveux d'un teint bleuté et la peau couleur sable, ces yeux se changèrent en gris ou autre couleur selon la couleur des pierres chauffantes.

La note fut prise par la noble, forte heureusement se don un peu style caméléon pouvait-être contrôlé à volonté, plus facile à maîtriser que son don initial qui était de contrôler l'eau au moins!
Le lavage fait, la grande dame se vêtu de son armure noir et or comme à son habitude et partit ouvrir les rideaux qui réduisait considérablement les rayons de soleil. C'est en les ouvrant qu'elle fut une rencontre des plus... Improbable.
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Doucement, mes mains tirèrent les rideaux pour les refermés. Je resta quelque seconde devant ma fenêtre, une expression interrogative. Qu'est-ce que...? Qu'est-ce que faisait tous ces Poro collé à ma fenêtre? J'ai rêvé où bien...?

Mon visage était rester figé dans un trouble des plus total, je venais d'ouvrir ma porte et la vision que j'avais vue par la fenêtre s'avère être réel. Un régiment de Poro était collé à ma fenêtre tous s'étant coincé contre celle-ci.
Perplexe, je devais réagir! Je traversa une petite partit de mon jardin pour arriver à ma fenêtre puis je pris les choses en main, ou plutôt les animaux pour être plus exacte. Je décrochais petit à petit les étranges personnage qui galopait à tout allure dans mon jardin une fois libre.

Je pense que le fermier avait dû laisser la barrière ouverte par inadvertance, cela arrive mais maintenant c'était moi qui réparé ces fautes. Parmi tous, un petit bébé Poro timide et tremblotant avait fermer ces grands yeux noir en se repliant sur lui même. Touché par cette scène je le pris dans mes bras, aucune présence maternelle le rechercher...

La petite bête c'était blotti à moi comme-ci j'étais ça mère elle-même, ces petites cornes se frotter contre moi à la manière d'un tendre câlin. Oh... Il était adorable!
Il fallait pourtant ramener ces braves petites choses à l'étable. Rapidement je repartit à la maison et fouilla dans mon garde manger, à l'intérieur, j'avais trouver une petite pâtisserie appeler Snax. Aux yeux du bambin Poro, je vu que le gâteau aller faire mouche! Pour éviter que le bébé le mange dans ma main j'entourais la gourmandise dans un filet et partit dehors. D'une voix élever, je clamais.

'' Petit petit! Aller venez mes petits! ''

Les Poro, langue sortit, regardait la collation des étoiles dans les yeux. Je pouvais lire dans leur regard « Manger! ». Tous, sans hésitation, se ruèrent vers moi en galopant à tout allure. Tenant ma petite bête fermement dans le creux de mon bras, je commençais comme dirait les jeunes, à me taper un springt! Une armada de Poro me poursuivait dans les rues d'Ithaque pour avoir la chance de pouvoir manger un Snax, quelle bande de goulu! Heureusement, la ferme n'était extrêmement loin!

Les passants avaient tous les yeux exorbité de voir ces vingtaines de Poro à ma poursuite. Une fois arrivé à la ferme je vis le fermier se jeter dans un tas de paille pour échapper au bête déchainer tendis que je m'étais élancer pour passer la barrière de l'enclos de ces animaux. Une fois tous à l'intérieur, je balançais la pâtisserie loin de moi pour me laisser le temps de fermer la barrière. Le bébé que j'avais tenu jusque là s'empressa de rejoindre le troupeau le fermier arriva alors vers moi, l'air offusqué et troubler par cette agitation.

'' Vindiou, qu'est-ce qu'sais que toute cette agitation!! ''

Un air confus et désolé se fit lire sur mon visage de porcelaine, lui faisant une révérence dans un visage gênée je lui expliqua les fait.


Un blanc s'installa quelque seconde avant que le vieux Narestan me tape l'épaule amicalement d'un air satisfait en remuant ça brindille de blé dans ça bouche aux traits souriants.

'' Ah merci gamine! Je ne m'en était pas aperçu car ma femme était malade aujourd'hui et que j'étais rester à son chevet plus longtemps que prévu! ''

Fiou... Il l'avait bien pris! Une question me tarauder néanmoins, à qui appartenez se petit Poro malmener par ces congénères? De loin je le voyait bousculer à l'arrière du groupe restant seul, il n'arrivait pas à s'adapter à ces autres camarades...

'' De rien monsieur. J'ai une question si je puis me permettre. ''

Le fermier remuer la paille dans ça bouche entre ces babines de chat, remettant son chapeau de paille sur ça tête il me dit.

'' Vas-y petite je t'écoute. ''

D'un air interrogative je pointais le bébé du bout du doigt en tentant de bien exprimer ma question.

'' Eh bien... Vous voyez le petit Poro tout seul là. Il n'a pas de mère? Depuis que je l'ai vue, il reste tous seul à l'arrière du troupeau. ''

Le fermier claquait ces mains contre ces hanches en montrant d'un signe de tête l'animal que j'avais délicatement désigner.

'' Ah lui là! Se petit loupiot est pas sevré ça mère c'est fait dévoré par un animal sauvage qui roder dans le village. Du coup se Poro me donne du fil à retordre car il arrive pas à ce sociabilité avec ces congénères! Je pensais l'abattre car cette petite bête va devenir un souffre douleur du groupe si il arrive pas à s'adapter! ''

L'abattre?! Comme cela était Barbare! Il était tellement adorable, je ne pouvais me résoudre à le savoir abattu pour s'y peu. En un sens, je comprenais la logique du fermier... Tuer le petit animal avant qu'il ne souffre tout une vie de Poro parce-qu'il ne serait pas accepter dans son troupeau.
Je répondis au fermier avec une faciès triste.

'' Il n'y a pas un moyen qu'il échappe à l'abattoir...? ''

De ces mains velu, le fermier se frotta le manteau d'un air réfléchit.

'' Faudrait qu'il est une famille d'accueil mais qui voudrait d'un bestio' d'ferme chez soit ha! ''

Pendant un instant je réfléchis aussi. Et si je l'adoptais..? Il échapperait à l'abattoir...? Mais c'est une lourde responsabilité quand même non? Oui mais l'abattoir tous de même...! J'expirais tracasser puis m'exprimer.


C'est assez mal d'être demandeuse comme cela, une femme de mon époque devait savoir se taire face à la décision d'un homme mais cela m'embêter réellement de savoir le gentil Poro avec une épée de damoclès au sommet de ça petite frimousse.
Le fermier se mit rire.

'' Haha! Faites-en se que bon vous semble! Après tous vous avez ramenez le troupeau sain et sauf chez moi je vous doit bien ça! ''

Le fermier partit en enjambent la clôture des Poro pour me ramener mon nouveau petit compagnon terroriser dans les bras du fermier. Il était tellement mignon, j'étais vraiment enchanté de pouvoir le prendre avec moi. Le garde de ferme me le mit dans les bras, tous de suite, le petit animal se blotti dans mes bras comme un petit se blottirait à ça génitrice. Un doux sourire apparu sur mon visage et le narestan l'avait bien remarqué.

'' Ah on dirait qu'il vous prend pour ça mère! Bon, j'vous donne du lait de Poro! Vous donnez à votre bestio matin et soir pas plus! C'est p'tite bête on les yeux plus gros qu'eul ventre. ''

Je hochais la tête tous sourire en caressant la boule de poil entre les deux cornes, avec le fermier nous avons convenu que dès se soir j'allais me faire livrer en lait de Poro gratuitement, pour pouvoir subvenir aux premiers mois de sevrage de mon animal de compagnie.

Lors de ma route de retour je lui trouva un nom. Flocon de neige, en référence au faite qu'il aimait bien les laisser se poser sur ça langue. J'étais tellement joyeuse. Bienvenu chez ton nouveau toi petit Poro!

FIN